La sélection des collectivités locales, dont la ville de Vierzon, candidates à l'accueil de services de la DGFiP fait réagir le syndicat Solidaires finances publiques qui s’interroge : "Quelle est la réalité derrière cette annonce ?"
Le syndicat revient sur la réaction du maire de Vierzon, dans la presse : "C'est donc une très bonne nouvelle. Nous avons beaucoup d'emplois industriels mais il est vrai qu'il manque à Vierzon des emplois de service, déclare-t-il. Nous sommes donc très contents d’accueillir des agents des services publics qui ont des emplois bien rémunérés et donc du pouvoir d'achat. Nous allons désormais œuvrer pour que leur délocalisation se passe le mieux possible et pour cela nous allons donc nous attacher à la question de l'emploi des conjoints."
Le syndicat ajoute, sur son site qu’"avant de s'enthousiasmer de cette sélection, revenons sur le calendrier. Des services d’Île-de-France (1 500 agents) et de métropoles régionales (1 000 agents) vont être délocalisés, d’une façon progressive sur une période de 6 ans, de 2021 à 2025. Plus de 400 communes se sont portées candidates mais seules 250 ont présenté un dossier complet et/ou exploitable."
« C'est donc une très bonne nouvelle. Nous avons beaucoup d'emplois industriels mais il est vrai qu'il manque à Vierzon des emplois de service, déclare-t-il. Nous sommes donc très contents d’accueillir des agents des services publics qui ont des emplois bien rémunérés et donc du pouvoir d'achat. Nous allons désormais œuvrer pour que leur délocalisation se passe le mieux possible et pour cela nous allons donc nous attacher à la question de l'emploi des conjoints. »