Evidemment, on va encore dire que Vierzonitude critique. Mais bon, il en faut un, n'est-ce pas. Nous sommes sur la piste cyclable du canal à vélo sans canal, le long de la place du cirque national Amédée. les futurs cyclistes sont censés prendre le bitume du parking pour les eaux calmes du canal, où les eaux à sec tout dépend. Ils auront donc un petit cheminement pour gagner le quai du bassin où le canal se perd ensuite dans une buse pour rejoindre l'auberge de jeunesse où le canal rejaillit par la même buse.
Mais alors, une question : à l'heure où l'on va sur la lune, où la technologie rend d'énormes services, pourquoi, mais pourquoi laisse-t-on ces armoires électriques là, en plein dans le passage ? N'y-avait-il pas un moyen que la technologie puisse résoudre pour les retirer, les mettre ailleurs, les cacher, enfin trouver une solution pour ce soit plus jolie ! Vous savez, joli, beau, esthétique, charmant, enfin bref...
Non, il a fallu laisser ces mochetés sur un parcours qui, disons-le, n'est pas aidé par son environnement. Pourquoi ? Franchement pourquoi ? Et ça, c'est le summum. On sait que le bitume coûte cher, sinon à Vierzon, on en utiliserait plus souvent. Mais là...
Rassurez-nous, dites-nous que ce n'est pas fini, s'il vous plaît, dites-le nous !