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Vierzonitude

Le blog que personne ne lit... mais dont tout le monde parle


Une extension qui inquiète des riverains

Publié par vierzonitude sur 29 Janvier 2021, 07:10am

Une extension qui inquiète des riverains

On nous écrit pour nous alerter que "ce local commercial  été vendu. Il serait destiné à accueillir une entreprise déjà existante à Vierzon. Le problème, explique ce Vierzonnais, c'est que  "mes parents demeurent derrière depuis 1977, ce  projet d'extension risque de les emmurer et de leur retirer une part non négligeable de luminosité." Les propriétaires craignent pour leur qualité de vie car l'extension des locaux viendrait au ras de leur grillage, ils craignent aussi d'être "emmurés". A suivre...

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Commenter cet article
A
AR
04/02/2021 13:25
Pour info , cette publication n'est pas de mon fait . Vous citez en modèle l'individuel comme Léonard de Vinci Mozart puis en ensuite Hitler et Staline, a part çà c'est moi qui confond individu et prédateur. Mais vous n'etes pas une contradiction près. " l'autre pour le prédateurs est une proie " BRAVOOOO Vous lisez Mickey ? Oui je suis pour le travail d'équipe , les groupe de travailleurs solidaires. Je ne crois pas en l'homme providentiel sachant qu'il ya des talents mais même Ambroise Croizat sans d'autres , notamment des ringards comme moi, il n'aurait pu construire la Sécu. Quoiqu'il en soit , votre analyse est faite de procès d'intention, de jugement a l'emporte pièce sans fondement . On se connait ? Auquel je vous met au défi de faire tomber votre pseudo ou taisez vous pour parler de moi. Quoiqu'il en soit votre analyse est de la bouillie pour chat
Répondre
A
AR
05/02/2021 13:54
cet message est une réponse a l'attaque personnelle de Wisard
W
Wizard
01/02/2021 11:21
Il faudra bien qu'un jour AR se fasse une raison. Il n'y a que deux véritables façons d'aborder le statut de l'humanité. L'individu OU le collectif. L'individu c'est Leonard de Vinci, Mozart, Edison etc...soit seul éventuellement contre tous. Le collectif c'est les termites, les bovins, les harengs etc...soit rien sans les autres. Les individus sont libres mais le collectif ne peut se concevoir sans un chef. <br /> AR ne supporte pas de ne pas pouvoir mettre le grappin sur les autres, de les voir vivre leur vie surtout si "leur vie" LUI est de fait hors de portée. AR voit le monde comme peut le voir un épicier balzacien pour qui l'univers entier est à son image et pour qui les autres sont des monstres s'ils ne lui ressemblent pas.<br /> AR confond l'individu et le prédateur. Les prédateurs constituent une classe d'êtres à part pour qui l'autre n'est qu'une proie, un objet, un outil. Staline ou Hitler en sont les archétypes mais on trouve dans cette catégorie tous les petits escrocs du quotidien, les marchands de sommeil, les négriers et tutti quanti. J'ai d'ailleurs connu, au cours de ma longue expérience de la vie, des personnes d'extrême gauche qui auraient volontiers investis dans la traite négrière s'ils en avaient eu l'opportunité.
Répondre
A
AR
04/02/2021 10:53
Pour info , cette publication n'est pas de mon fait . Vous citez en modèle l'individuel comme Léonard de Vinci Mozart puis en ensuite Hitler et Staline, a part çà c'est moi qui confond individu et prédateur. Mais vous n'etes pas une contradiction près. " l'autre pour le prédateurs est une proie " BRAVOOOO Vous lisez Mickey ? Oui je suis pour le travail d'équipe , les groupe de travailleurs solidaires. Je ne crois pas en l'homme providentiel sachant qu'il ya des talents mais même Ambroise Croizat sans d'autres , notamment des ringards comme moi, il n'aurait pu construire la Sécu. Quoiqu'il en soit , votre analyse est faite de procès d'intention, de jugement a l'emporte pièce sans fondement . On se connait ? Auquel je vous met au défi de faire tomber votre pseudo ou taisez vous pour parler de moi. Quoiqu'il en soit votre analyse est de la bouillie pour chat
C
Colvert
29/01/2021 17:22
A Vierzon,place aux affaires et au plein emploi!<br /> Pour le Vierzonnais moyen qui habite à côté?Et bien.......tant pis!<br /> Bon débarras même!<br /> Voilà ce qui arrive quand on deplait sur les réseaux sociaux
Répondre
A
AR
31/01/2021 12:35
la gauche ? Quelle gauche ? La gauche libérale , sans aucun doute
W
Wizard
30/01/2021 11:05
Colvert, faute avouée est à demi pardonnée. Pan-Pan-Pan...<br /> <br /> Jers ne supporte pas la contradiction. Et en plus il ou elle est bien gentil(le) de souhaiter aux autres le meilleurs. C'est ça aussi la gauche.
J
JERS
29/01/2021 22:21
N'importe quoi !, vivement que cela vous arrive un jour et rapidement, et ne venez pas geindre ici plus tard,pour avoir de la compassion sur votre prochain malheur. Honteux vos propos,voir écœurants !
A
A bas les murs!
29/01/2021 16:27
C'est très étrange cette histoire.<br /> Non seulement une extension va porter atteinte à la qualité de vie des riverains,mais en plus cela portera atteinte au quartier.<br /> La Mairie et la communauté de communes laisseront ils faire?<br /> De quel côté se placent ils?<br /> A la limite pourquoi pas une extension vers l'impasse de Vielfond?<br /> Mais si la mairie délivre un permis de construire derrière,les habitants n'auront que leurs beaux yeux pour pleurer car leur maison ne vaudra plus rien!
Répondre
W
Wizard
30/01/2021 11:00
Combien y a-t-il de problèmes comme ça à Vierzon chaque année ?<br /> Tout ça sent le bidonnage et la concertation.
J
Justice
29/01/2021 10:58
La balle est dans le camp du Maire.<br /> Il doit avoir l'intelligence de protéger des administrés âgés,avec des problèmes de santé.<br /> Il doit préserver leur qualité de vie et leur environnement<br /> Parce qu'en effet la prochaine étape ce sera l'expropriation.<br /> Et s'il n'y a pas d'expropriation,alors les riverains pourront dire adieu à leur qualité de vie et leur retraite se transformera en chemin de croix.<br /> Et à 70 ans,le chemin de croix,on sait ou ça mène!<br /> A la Mairie de faire le bon choix en protégeant les plus faibles face à un commerçant.<br /> Ce ne sont pourtant pas les espaces commerciaux plus spacieux qui manquent à Vierzon?<br /> Quel intérêt d'acheter un local de supérette pour l'agrandir?<br /> Et à aucun moment le propriétaire ne s'est soucié du voisinage?<br /> La Mairie doit intervenir et protéger des citoyens sans défense.
Répondre
A
AR
31/01/2021 12:38
Wisard, pas de doute vous etes un porte parole de l'idéologie du libéralisme. Doléances et partiales ? Je vous souhaite un grand hangars devant chez vous çà vous rendrait humble
W
Wizard
30/01/2021 10:59
Vos doléances sont ridicules et partiales.
A
Albert
29/01/2021 17:51
Effectivement , le maire doit faire respecter la tranquillité publique de chacun dans cette commune c'est son devoir et sa responsabilité, que ce soit pour les plus âgés comme pour les autres ne l'oublions pas, la jouissance d'un bien et la tranquillité d'une vie ne doit pas être négliger dans ces cas là.Ne pas intervenir c'est d'accepter de ne pas faire respecter la loi, alors j'espère que le bon sens réglera ce problème car dans ce cas c'est vraiment honteux !
P
Paul Verlaine
29/01/2021 10:03
Merci à Vierzonitude pour la publication.<br /> Depuis une semaine les habitants de la maison blanche que l'on voit sur la photo sont très inquiets.<br /> Surtout Madame qui se fait un sang d'encre et angoisse beaucoup.<br /> On le serait à moins.<br /> 43 ans que ces gens vivent ici.<br /> Ils ont connu la coop,le marchand de pommes,le brocanteur.<br /> Ils n'ont jamais posé problème et étaient même heureux d'avoir un voisin commerçant.Cela créait de l'activité et de la vie dans le quartier qui en manque tant.<br /> Ce couple de Vierzonnais parfaitement honorable,a toujours vécu en milieu ouvert,sans clôture opaque,sans portail fermé à double tour.<br /> Ouverts sur le quartier,ouverts sur le monde,ayant le goût des autres quand d'autres se barricadent derrière des clôtures de 2,65 mètres ou des haies.<br /> Oui monsieur et madame R respectent la propriété privée chère au Maire de Vierzon,mais ils craignent de vivre leurs 15 à 20 dernières années de vie emmurés derrière un mur,plein sud,qui les priverait de soleil une majeure partie de la journée et tout au long de l'année.<br /> Ils craignent de vivre collés à une extension commerciale qui pourrait les empêcher de faire du barbecue l'été,qui risquerait de les inonder sur le toit de l'extension est mal incliné.<br /> Ils craignent pour leur maison en cas d'incendie,ils craignent des nuisances sonores........<br /> Ils craignent enfin qu'au bout du chemin,ce soit l'expropriation à l'instar de la maison qui était à l'emplacement actuel du magasin Darty.<br /> Morale de l'histoire,ne jamais habiter près d'un commerce ou d'une entreprise.<br /> La mairie laissera t elle faire?Choisira t elle un commerçant de pièces détachées auto au détriment d'un couple de Vierzonnais retraités qui ont travaillé très dur pour payer leur maison et élever leurs enfants?
Répondre
W
Wizard
30/01/2021 10:56
Collectiviste (communiste ?) mais pas trop semble-t-il. <br /> <br /> Quand on est trop ouvert sur le monde il ne faut pas s'étonner si tout le monde débarque et s'installe près de chez vous quand ce n'est pas directement chez vous !<br /> <br /> Les gestionnaires d'une commune ne sont pas toujours juridiquement en charge des problèmes rencontrés par les riverains suite aux aménagements urbains ou ruraux, aménagements soumis aux autorités locales (département et région inclus) ou nationales. A condition que les problèmes soit modérés et que les besoins qui les causent soient essentiels et pour tout dire indispensables. La Mairie vous expliquera tout ça mieux que quiconque.<br /> Ils ont déjà, dans le contexte des difficultés actuelles, trop souvent bien du mal à savoir clairement sur quoi ils veulent mettre le cap, alors pensez-bien, les détails et les victimes collatérales ne tiennent pas tous dans le cadre du schéma de faisabilité. L'expropriation est un autre sujet, gravissime, qui en France au XXIème siècle ne devrait s'envisager que pour des causes vitales, et ce sujet est méprisé par le pouvoir régalien.<br /> <br /> Ce qui est franchement gênant dans votre plaidoyer, ce sont les connotations morales de gauche que vous insérez comme autant de dogmes utiles au débat. Evidemment que des riverains sont par nature réputés de bonne foi, méritants et honorables. Vous dites également que le Maire serait attaché à la propriété privée. Bigre, c'est pas bien ça. Ne serait-il, avec tout le respect qui lui est dû, qu'un apparatchik révisionniste ? <br /> <br /> En résumé et en conclusion, vous voyez les aphorismes de droite sont toujours et encore d'actualité ; "l'enfer est pavé de bonnes intentions" et "l'enfer c'est les autres"...<br /> <br /> Blague à part, nous sommes bien entendu avec vous.
L
LoL
29/01/2021 09:54
Les pauvres , fini la grâce matinée et la retraite paisible!! , le chant des camions , l'odeur frais du vent pollué et le bonjour permanent de la caméra figée face au salon, ont désormais de beaux jours hélas !! :-(<br /> <br /> A Vierzon , se payer une baraque pour être heureux à vie devient mission impossible , même sur une île déserte , vous risquez désormais de croiser Vendredi et tous ses copains alcoolisés assis sur votre perron!!
Répondre
W
Wizard
29/01/2021 09:40
C'est ce qui arrive à des milliers des familles chaque année. De la même façon, des dizaines de milliers de familles ont été concernées par ce problème, voire expropriées souvent à vil prix, depuis plus d'un siècle par les extensions/créations de lignes ferroviaires, autoroutes, retenues d'eau et autres avec les nuisances qu'on connait. <br /> Quand on s'installe quelque part il convient de garder à l'esprit que ce qui existe aujourd'hui n'est nullement garanti pour l'avenir.
Répondre
A
AR
31/01/2021 12:33
je persiste , le libéralisme a pour doctrine la liberté individuelle. Quand les libéraux mettent des limites c'est parce que cela gène leur interet. " je fais ce que je veux ou je veux avec qui je veux est a peine une caricature
W
Wizard
30/01/2021 09:57
Non AR, le libéralisme n'a rien à voir là dedans. Chacun est libre de s'aménager sur sa propriété comme il le souhaite dans le cadre des règles en vigueur (règles contestables bien souvent). <br /> La vrai question qui se pose est celle de savoir à partir de quand une modification de "son" environnement quotidien devient inacceptable pour le citoyen lambda. Pour ma part, je considère qu'une réduction de la luminosité et une dégradation relative de la vue sur un coté de son terrain ne constitue pas un préjudice insupportable. Rien à voir avec les problèmes de risques industriels, de bruits, d'odeurs, de privation d'usage (jouissance) et de délinquance par exemple. Ce commentaire s'applique aussi aux riverains actuels ou futurs des parc d'éoliennes (cependant nocifs pour la faune sauvage uniquement). <br /> J'attire par ailleurs votre attention sur ce sujet qui vise et qui concerne tout d'abord et surtout les tenants d'un accroissement de la population dans notre commune; accroissement qui conduirait inexorablement à un accroissement des problèmes et des nuisances.<br /> Et puis vous pouvez méditer ce qu'il adviendrait avec un régime collectiviste (dirigiste) : pas de discussion, pas de recours et plus de propriété privée ce qui solde tous les problèmes.
A
AR
29/01/2021 10:24
C'est vrai il faut aussi grader a l'esprit qu'on est pas seul sur terre et quand on s'installe on garde a l'"esprit qu'il ya des voisins. C'est çà le liébralisme" je fais ce que veux c'est a moi j'ai le droit et. . . .) par conséquence tanpis pour les autres
O
Oui
29/01/2021 08:17
Une extension nécessite un permis de construire, le minimum serait que la mairie le refuse, non ?
Répondre

Vierzon-sur-Mer

Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?

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