A en croire la logorrhée de tribunes des différents groupes politiques du conseil municipal, des tribunes rarement judicieuses, dans le dernier bulletin municipal, il n'y a donc plus d'écologistes dans le conseil municipal. L'un d'eux a été obligé de démissionner après son refus de cautionner le projet de plateforme géante sur le parc technologique. Et celle qui restait signe désormais avec le groupe la France insoumise. Il faut dire qu'aux dernières régionales, les Insoumis et les verts ont fait destin commun avant que les Insoumis ne soient rayés de la liste lors du second tour.
On peut imaginer que l'élue écologiste du conseil municipal puisse avoir sa tribune personnelle, au même titre que Mary-Claude Grison, seul élue de l'opposition Pour les Vierzonnais. Mais non. Plus d'écologie dans le conseil municipal, remarquez on ne peut pas prôner l'écologie en laissant la périphérie s'étendre, en artificialisant des prairies et en condamnant l'environnement d'un centre équestre.
Les Insoumis vomissent toujours autant sur le président et le gouvernement accusés de ne rien faire face "aux catastrophes climatiques". Les Insoumis devraient faire preuve de pédagogique à l'égard des siens, on veut parler des élus du conseil municipal.
Ce n'est pas en construisant une pkace minérale, sans arbre où la température dépasse les 50° sur les pavés (la pace Jacques-Brel), ce n'est pas en laissant une plateforme logistique prendre la place de prairies même sans intérêt que les catastrophes climatiques seront évités. Les Insoumis aboient et rien ne se passe...