"Passé le premier choc, on peut se demander comment réconcilier les français avec la politique : ceux qui s’abstiennent, ceux qui votent blanc ou nul, ceux qui n’ont plus du tout confiance dans les partis traditionnels et à peine dans les autres. Mais c’est trop tard pour cette année", écrit Mary-Claude Grison, élue de l'opposition.
"On peut apprécier ou non la politique de Macron mais on sait à quoi s’attendre. C’est loin d’être pareil pour l’extrême droite de Le Pen. Alors je ne veux pas que mes petits enfants plus tard me disent : « et en 2022 pour empêcher l’extrême droite d’arriver au pouvoir, tu as fait quoi ? » Alors je voterai Macron."