"Jill Gaucher, première adjointe en charge de la transition énergétique, qui a pris la parole à son tour, a révélé le lancement d’une étude en 2023 pour établir un programme de renaturalisation des espaces (places, cours d’écoles) sur trois ans, et un programme sur les cimetières sur quatre ans", lit-on dans la presse locale. Ou comment les élus socialistes, après le départ de l'ancien maire devenu député, ont à coeur de réparer les erreurs des élus communistes, bétonneurs en chef, bitumeurs invétérés.
S'il existe un programme de renaturalisation des places et des des cours d'école, comme la place Jacques Brel, c'est que depuis 2008, depuis 14 ans, les élus de la majorité ont fait semblant de croire au réchauffement climatique. Sinon, la place Jacques Brel ne serait pas une plaque chauffante en plein été (plus de 50° sur les pavés...)
Quand la gauche vierzonnais fait croire à l'écologie, c'est comme lorsque l'extrême droite martèle qu'elle n'est pas raciste, ce n'est pas crédible. Depuis quatorze ans, la politique de cette ville a marché à l'envers et au lieu d'investir pour le bien être des habitants et non pas au prorata des voix qu'on peut faire dans une urne, nous n'en serions pas là. La rue des Ponts, la rue Joffre, des pans entiers de cette ville sont abandonnés.
Nous ne sommes plus que 25.000 habitants et les élus gèrent cette cité comme une métropole, parce que leur fierté en a pris un coup. Ils espéraient 50.000 habitants, ils ne sont que la moitié et ils gèrent un grand village pas une ville. Alors, quand on voit le P.S annoncer une étude sur le renaturalisation alors que les communistes s'apprêtent à artificialiser des hectares de terre pour construire une plateforme logistique, symbole de l'exploitation des salariés, on se dit qu'on doit être dans la quatrième dimension.
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