Changement de maire mais pas changement de pratique. La maire de Vierzon a mis en avant la politique politicienne qui continue de tuer Vierzon au profit d'un intérêt pour cette ville. On aurait aimé lire, dans la presse locale, que 2023 doit être l'année de l'avenue de la République, ou des quartiers piétons. Mais comme d'habitude, les élus vierzonnais croient que la révolution partira de Vierzon ! La blague.
"Je ne peux commencer mon intervention sans vous souhaiter à tous, ainsi qu’à vos proches, tous mes vœux de bonheur", un "droit essentiel" pour l’élue. Il est pourtant de la responsabilité des gouvernements de travailler au bonheur de tous", lâche-t-elle. Et si les élus vierzonnais commençaient à travailler au bonheur des habitants ? Ah mince, le bonheur n'est pas subventionné.
Sinon, pour les projets, rien de neuf : un projet autour du quartier gare, une "réflexion" autour de l'avenue de la République, du mépris donc pour ce qui constitue le cœur de cette ville.
Quant à la rue des Ponts, rien de structurer, les élus avancent en marchant, pas étonnant que la ville est ce qu'elle est. Et le pompon, c'est cette pépite : "L’environnement devrait également être au cœur du projet municipal. « L’année 2022 nous a rappelé une nouvelle fois, brutalement, que le changement climatique est bien réel et s’accélère […]. Il est grand temps de réagir. »
Entre la place Jacques Brel qui est un four micro-ondes et l'artificialisation de treize hectares de terres humides pour y construire une plateforme géante, en effet, il est temps de réagir ! Pour le reste, la continuité dans la douleur....