L'ex-soudeur éclair, élu à vie prônant la retraite à 60 ans alors qu'il refuse de lâcher la présidence de la communauté de communes à 70, a eu cette réplique à la sortie de Thibault Lhonneur, élu LFI, lors du dernier conseil, rapporte la presse locale :
"Je refuse de vivre dans un territoire où je ne pourrais plus avoir mes enfants ou mes petits-enfants parce qu’ils n’auront pas pu trouver du travail. On fait des villages pour les personnes âgées, on construit des Ehpad… C’est sûr que dans le département du Cher, on pourra y mourir dignement. On aura tout ce qu’il faut pour y mourir. Mais si on n’a plus rien pour y travailler, plus rien pour s’y former, je vous souhaite bon courage pour votre vieillesse."
C'est vrai que créer des emplois à bas prix, avec des salaires versés au lance-pierre, c'est une vision politique pour des élus, qui comme l'a expliqué Thibault Lhonneur, n'ont même plus le souvenir d'avoir vraiment travaillé et qui n'enverraient même pas leurs enfants, ni leurs petits-enfants.
En 46 ans de carrière politique, si François Dumon avait su attirer des entreprises, ça se saurait. La Case n'est même pas resté, et d'autres entreprises également. Alors, mettre ça sur le dos d'élus qui se soucient de l'écologie et donc de l'avenir des petits-enfants que notre président de la Com-com ne verraient plus faute d'avoir du travail sur Vierzon, c'est une vision plus qu'étriquée de la politique. Cette même vision qui depuis cinquante ans porte préjudice à cette ville.