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Vierzonitude

Le blog que personne ne lit... mais dont tout le monde parle


Méreau continue de tenir tête à Vierzon

Publié par vierzonitude sur 9 Mai 2023, 14:52pm

La presse locale relate une incompréhension qui dure depuis très longtemps : l'absence de Méreau au sein de la communauté de communes de Vierzon. Comme si Saint-Doulchard n'appartenait pas à l'agglo de Bourges. En matière de politique politicienne qui va à l'encontre d'une logique de territoire (mince on ne se met à parler comme les bureaucrates), on atteint des sommets.

Mais ce n'est pas demain la veille que Méreau rejoindra la CDC de Vierzon, pas avant 2026, prévient le maire de Méreau, c'est-à-dire après les élections municipales, sans doute n'a-t-il pas envie de prendre cette décision. Ce qui est grave, dans cette histoire, c'est ceci, lit-on dans la presse : "Pour convaincre les communes de Cœur de Berry (NDLR ; la communauté de communes à laquelle appartient Méreau), François Dumon insiste sur son respect de la démocratie."

Comme quoi, la crainte de se faire manger par la politique politicienne tenaille la petite commune du Lurois, voisine de Vierzon. "Quand on a un désaccord avec un maire, tant qu’il n’est pas résolu, on en discute. Je travaille avec tous les maires, on tient compte de leur
avis", dit François Dumon. A-t-il autant discuté avec les opposants à la platefoime Virtuo ? 

La non-adhésion de Méreau à Vierzon est une guerre de territoire. Le Lurois est le territoire exclusif du sénateur Rémy Pointereau qui n'a pas envie de voir ses communes basculer dans un parlement communiste... Oui, on en est là... Il faut dire que Vierzon et Méreau se sont toujours tirer la bourre.

A l'époque, Max Albizzati, qui allait devenir pendant 18 ans de 1990 à 2008 le bras droit de Jean Rousseau, maire de Vierzon, avait décidé de créer une zone industrielle à... Méreau pour faire enrager les communistes de l'époque. On, on en était déjà là...

Dans la presse, lit-on encore, "François Dumon, lui, se montre davantage optimiste sur le fait que Méreau puisse rejoindre Vierzon Sologne Berry : « Nous y arriverons, je ne suis pas pressé. C’est une question de temps. » A 70 ans, il est optimiste l'ancien soudeur. En revanche, nous, on est plutôt pressé qu'il prenne sa retraire. Il a quand même dix ans de retard sur ce que ses camarades réclament au gouvernement...

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B
La discussion avec Monsieur Dumont est à sens unique puisqu'il n'a jamais répondu aux sollicitations de l'association qui s'oppose à la construction du pôle logistique allant jusqu'à nier ne pas avoir reçu de demande par courrier avec AR. C'est très fort.<br /> Il y a aussi dans son intervention des phrases qui en dise long<br /> « Nous y arriverons, Je ne suis pas pressé.<br /> L'emploi du nous et du je dans la même n'ai pas un vraiment un signe d'ouverture de dialogue.<br /> Le mieux qu'il est à faire serait de partir car il commence à parler comme Macron.
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