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Vierzonitude

Le blog que personne ne lit... mais dont tout le monde parle


Vierzonitude responsable du racisme et de la montée du R.N à Vierzon ! Il fallait oser

Publié par vierzonitude sur 15 Mai 2025, 16:54pm

Vierzonitude responsable du racisme et de la montée du R.N à Vierzon ! Il fallait oser

"Vous êtes pleinement responsable de par la portée de vos post de l’ambiance à Vierzon et de la montée du RN".

Ce charmant commentaire, d'une fidèle parmi les fidèles de la majorité est d'un culot sans nom.

Pire encore : la même insiste : "vous ne pouvez pas vous étonner du niveau de commentaires racistes et du niveau du RN sur votre blog et votre page.../... vous avez grandement participé à ce climat anti goooooche et en tous cas complètement hostile aux politiques menées - sans nuances et en total sabrage de tout ce qui est fait à Vierzon depuis 2008…"

Alors, on peut nous accuser de tout, depuis quinze ans, on a le cuir épais, mais de racisme sûrement pas et de la montée du R.N, encore moins, surtout quand Vierzonitude se positionne clairement contre le R.N à Vierzon.

Pour cette idolâtre du P.C, la critique de la gauche et l'hostilité aux politiques menées depuis 2008 à Vierzon sont donc désormais prohibées.

Vous n'êtes pas content des nids de poule ? Ca fait grimper le R.N.

Vous n'êtes pas content des poubelles sur le trottoir ? Vous faites grimper le R.N.

Vous n'aimez pas la place Brel, la future plateforme logistique, les groupes aux Estivales, le poulet aux olives, les fraises Tagada, les bananes trop mûres ? Vous faites grimper le R.N.

Alors, voilà la solution : dissoudre Vierzonitude fera disparaître le racisme à Vierzon et le R.N avec !

C'est la nouvelle lubie de nos Caliméro municipaux qui ne supportent pas la critique parce qu'ils pensent qu'en dehors d'eux-mêmes, rien n'existe. 

Fascinant !


 

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B
Bernard
16/05/2025 18:11
Tout n'est pas faux, votre critique systématique des actions de la majorité s'apparente parfois à de l'anti communisme primaire. A moins que ce ne soit plus personnel ??<br /> C'est la méthode employée par la gauche dure, celle qui s'oppose à tout ce qui ne vient pas d'elle. Rappelez vous lors du mandat de Hollande, le député Sansu votait contre toute proposition. Idem pour la CGT capable de s'opposer à une mesure favorable aux travailleurs si elle est prise par une quelconque direction. Il ne suffit pas de s'opposer il faut proposer..
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S
Simara
16/05/2025 15:21
Non non et non : ce blog n’ est pas responsable de la montée du RN à Vierzon ni partout en France. Sinon comment expliquer pourquoi ce parti fasciste est arrivé à un tel niveau dans tout le pays.<br /> Partout en France où le PCF était le parti dominant le RN à fait des percées spectaculaires en deux décennies et le PCF s’ est effondré. C’ est par la qu’ il faudrait commencer à chercher les raisons de la perte des électeurs. <br /> Pas mieux pour le PS, Parti de gauche qui usurpe son qualificatif de gauche, gauche bourgeoise ok, mais plus bourgeois que de gauche.<br /> Quand j’ entends ce que j’ entends de la part des politiques du PCF et du PS à l’ encontre des dirigeants et des militants de la France Insoumise j’ ai mal à ma gauche. C’ est pourquoi nous sommes nombreux parmi les militants insoumis issus du PCF et du PS, sauf bien sur, ceux qui sont partis vers le RN.<br /> Ce blog ne fait que mettre le doigt la ou ça fait mal et c’ est une bonne chose pour la démocratie et l’ information pour ceux qui veulent bien se donner la peine de le lire au lieu de rester scotcher devant leurs écrans de télé avec CNews, BFM, LCI, France Info….. toutes ces chaînes qui pratiquent le lavage de cerveaux.<br /> S’ il fallait retenir une seule qualité à ce blog, c’ est son désir de nous informer.
Répondre
L
Le vierzonnais
19/05/2025 19:38
il est arrivé a un tel niveau par la bêtise de gens comme vous qui manient des adjectifs sans en connaître le sens et le cas échéant être incapable de les relier à des actes concrets....Et je vous assure le RN n'est pas ma tasse de thé
L
Le Vierzonnais
15/05/2025 21:34
C'est bien la gauche d'aujourd'hui, accuser les autres sans jamais se remettre en question. Dites-moi où sont les racistes car je n'en vois pas. Je croise énormément de gens déçus qui commencent à comprendre que cette gauche mondialiste cultivent les pauvres plutôt que de les sortir de la pauvreté.
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A
Alliance populaire
15/05/2025 21:18
Liberté d'expression!Cette dame ne s'appellerait elle pas mme Reischdadt?Ou mme Pain?Ou mme Mendes France,la mère de Tristan?<br /> A basla censure!
Répondre
C
Cincinnatus
15/05/2025 18:25
Il est vrai qu'accuser Vierzonitude est un peu facile... Cependant :<br /> - le P.C.F. et surtout L.F.I. sont tout ce qu'on veut mais sûrement pas des "partis démocratiques" (les victimes des purges stalinistes et les membres de l'Après sont là pour en témoigner), à tout le moins autant démocratiques que ne l'est le R.N.,<br /> - depuis plus de 30 ans, on nous parle du "front républicain". A observer les derniers résultats électoraux, ce "front" fonctionne de moins en moins, à Vierzon comme ailleurs.<br /> Seuls les actes doivent compter et, pour l'heure, le bilan de trois mandats de Nicolas SANSU sont à l'mage de celui de ces prédécesseurs : déplorable, pitoyable. Et ce n'est pas un concert de plus ou de moins aux Estivales du Canal qui changera ce constat. Tournons la page.
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Vierzon-sur-Mer

Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?

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