En 2016, agacé que son opposition lui reproche de ne jamais être à Vierzon (il était alors député et maire), et que cette ville était un prétexte pour irriguer sa carrière politique, le député-maire s'était fâché lors d'un conseil municipal.
Mais neuf ans plus tard, on confirme que Vierzon étaient bien un marchepied pour le maire redevenu député. Toute sa carrière politique tient à Vierzon et au parti auquel il appartient.
Sa présence dans l'opposition municipale, sa montée en puissance, sa vice-présidence au conseil général de l'époque, son élection de maire, de député, sa réélection de maire, de député, la tête de liste aux régionales sans vouloir être élu...
Qu'il le veuille ou non, le maire de Vierzon a fait de la politique son métier ce qui est une prouesse dans une ville de 27.000 habitants.
Alors, si Vierzon n'a pas servi de marchepied à l'actuel maire, à quoi a servi cette ville politiquement parlant ?
C'était beau cette déclaration d'amour, "Vierzon, c'est ma vie, ma ville, j'y suis revenu parce que j'en mourrais d'envie et qu'ailleurs je mourrais d'ennui". Apparemment, depuis sa réélection à la députation, l'ennui s'est éloigné...
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