Le post, ci-dessous, n'est pas passé inaperçu auprès de l'intéressé. Jacky Durand, le chroniqueur culinaire de Libération nous d'ailleurs répondu ! "Bonjour, merci de votre texte. Je serais très heureux de revenir à Vierzon." Et bien pas de problème. On se concocte une petite virée dans les arrière-cuisine de la ville de Vierzon !
Bon Jacky (Durand), à force de citer Vierzon dans tes papiers, on t'a pris en affection. Exister dans les pages de Libération, autrement que par la lorgnette gauchiste de notre bonne ville vierzonnaise, c'est vivre une seconde vie. Voilà que Vierzon, apparaît, comme ça, au gré de tes chroniques culinaires, au milieu de ta popotte. Et ça, c'est un cadeau royal. Bon, dans ta dernière livraison, tu fais référence au kébab, c'est vrai qu'à Vierzon, tu ne risques pas d'en louper un. Alllez, Jacky, on t'invite à venir visiter notre bonne vieille cité, comme ça, tu ne pourras plus t'en passer.
Extrait du papier de Jacky Durand : " parce que lorsqu’on débarque par le dernier dur à Chaumont, Vierzon, Bruxelles ou Oulan-Bator, il y a toujours un kebab pour nous sauver de la famine ; parce que le kebab, c’est comme la misère, c’est jamais férié mais le premier peut consoler de la seconde ;"
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Photo animée Emmanuel Pierrot De plus le temps qu'on en bouffe - au sens bâfrer, engloutir, s'empiffrer, boulotter, biffrer, becqueter -, on n'a toujours pas épuisé les raisons de manger du keb...
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