La parution de ce post à propos de "la vague" sur la future place Jacques-Brel, en centre-ville, a suscité de nombreux commentaires... négatifs. trop de béton. C'est ce qui ressort du ressenti général. Et aussi de celui de Vierzonitude. Trop de béton, trop gris, pas assez nuancé. Certes, ce n'est pas fini mais tout de même. Et ce mur au milieu, a beau être une "vague", on ne voit pas trop la finalité. D'autant qu'un élu se serait confié à un Vierzonnais qui, justement, lui faisait part de sa surprise à propos de la vague. Et cet élu aurait dit : "on ne la voyait pas si haute". Franchement, nous non plus...
Piste de skate-board ? De roller ? On a vu s'élever sur la future place Jacques-Brel, sur les ruines de l'îlot Brunet-Rollinat, un drôle d'édifice en béton. Une "vague" parait-il, dans un océan minéral. Car à force de voir la futureplace se construire, on se demande s'il y aura un peu de végétal, ou si la place ressemblera au carrefour de la place Gabriel-Péri avec un arbre rachitique pour donner le change ? On aurait aimé moins de béton, plus de spontanéité, moins de prise de tête, un truc sobre mais efficace. Là, cette vague de béton au beau milieu de la place intrigue. Restera-t-elle brute de décoffrage ? Mystère. On a beau chercher dans le projet, une explication rationnelle, on ne la trouve pas.
Vierzon court donc après sa vague en 2019. Nous avons eu l'hôtel Arche, sans son Arche, car le projet n'a jamais été terminé, nous aurons, trente ans plus tard, la vague de la future place Jacques Brel devant laquelle, nous pourrons méditer.