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Vierzonitude

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Il y a des quadras communistes adjoints tout à fait susceptibles de prendre ma suite

Publié par vierzonitude sur 21 Décembre 2016, 08:30am

Il y a des quadras communistes adjoints tout à fait susceptibles de prendre ma suite

"Il y a des quadras communistes adjoints tout à fait susceptibles de prendre ma suite", a dit le maire de Vierzon, Nicolas Sansu. Du coup, certains ont du ravaler leur ambition. Prenez François Dumon, par exemple, la soixantaine passée. S'il s'imaginait s'asseoir dans le fauteuil de maire, lui qui n'y est jamais parvenu par les urnes, c'est raté. Mais des quadras communistes, il n'y a pas autant que dans un kilo de clémentines corses. Alors qui reste-t-il pour succéder au maire de Vierzon ? Vierzonitude a fait la liste (lire ci-dessous). 

Il y a des quadras communistes adjoints tout à fait susceptibles de prendre ma suite

Une femme maire de Vierzon et pourquoi pas Karine Chêne ? L'adjointe au maire, également conseillère départementale, jamais avare d'un sourire, elle pourrait prendre les clefs de la mairie. Mais un maire de Vierzon qui ne partage pas les inconvénients de ses administrés en habitant dans la commune d'à côté, une position très difficile.

Il y a des quadras communistes adjoints tout à fait susceptibles de prendre ma suite

Discret et fidèle, Franck Michoux pourrait aussi occuper le siège de maire de Vierzon. L'adjoint à l'urbanisme est dans la droite (enfin la très gauche) ligne de l'actuel maire. Il serait l'ombre de l'ombre de Nicolas Sansu qui ne serait de toute façon pas très loin. Parfait en gardien du temple jusqu'aux élections de 2020.

Il y a des quadras communistes adjoints tout à fait susceptibles de prendre ma suite

Celui n'est plus (depuis peu de temps) secrétaire de la section du Parti communiste de Vierzon dans le siège du maire ? Ce n'est pas exclu. Dire que c'est possible, on ne va pas jusque là, mais c'est éventuellement probable. Serait-ce raisonnable, c'est une autre question, c'est un choix qui ne nous appartient pas mais s'il nous appartenait...

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D
DUDULASOUDURE
22/12/2016 16:25
ET LE PS DANS TOUS CE SYSTEME !!<br /> Sage comme le PG à la botte du système, pas de vagues parce que les places sont bonne et avec pas trop de travail, alaise dans les pantoufles pendant que le bruit des bottes arrive sur Vierzon.
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D
DUDULASOUDURE
22/12/2016 16:23
ET LE PS DANS TOUS CE SYSTEME !!<br /> Sage comme le PG à la botte du système, pas de vagues parce que les places sont bonne et avec pas trop de travail, alaise dans les pantoufles pendant que le bruit des bottes arrive sur Vierzon.
Répondre
M
Marre
21/12/2016 19:25
Se sont des copies conformes à l'autre Sansus,à mettre dehors sans hésitation et sans leurs bulletins de paies, tels devront être leurs destins que réservent les Vierzonnais à ces profiteurs!!.
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I
il
21/12/2016 12:05
a été mauvais ... et ceux-là n'inspirent aucune confiance à part celle de leurs égos qui ne semblent pas minces quand on les entend.
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L
Legentil
22/12/2016 10:22
Même s'il perd sa place de député, il touchera son (salaire) pendant cinq ans, c'est quand même un privilège par rapport aux autres citoyens.<br /> C'est pareil pour tout les députés, quelque soit leur appartenance politique.
B
Bezant
21/12/2016 11:57
Pour me résumer : à Vierzon il n'est pas demandé à l'électeur de désigner son maire mais de le deviner... Quel mépris !
Répondre
S
Stéphane
21/12/2016 10:57
Il y a même un quadra communiste susceptible de prendre une bonne raclée aux législatives de 2017.
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J
Jag
21/12/2016 10:44
Sansu a créé une réserve à Vierzon. Parmi les espèces en voie de disparition, les membres du PC arrivent à survivre ici, se développer et à se reproduire. C'est le miracle Vierzonnais du Cocoland !<br /> Voilà ce qui fait de notre ville une exception à montrer aux touristes....
Répondre
B
Bezant
21/12/2016 09:05
Décidemment la démocratie est torturée au pays de Nicolas SANSU : Après le deuxième tour volé des législatives, il nous faudrait aujourd'hui deviner quel sera le maire de notre ville. Nicolas SANSU devrait se souvenir que c'est lui que (de justesse d'ailleurs) ses électeurs ont désigné comme maire en 2014 en élisant la liste qu'il conduisait. Certes si l'élection du maire est la compétence des conseillers municipaux, par respect des électeurs, cette élection doit être conforme à l'affichage de la campagne qui a précédé le suffrage.
Répondre
T
thierryexpat18
10/12/2016 20:06
attention ! à force de faire "le difficile" il pourrait bien perdre ses 2 mandats !....
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C
ces
07/12/2016 23:08
cinq personnes méritent tout autant la critique que lui au sujet de l'état de la ville
Répondre
R
Raoul
07/12/2016 20:16
Entre Fillon ou Vals au national et ceux-là au communal, on est mal, très mal. Pire qu'avec le FN.
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L
Lol
07/12/2016 19:39
Il devrait se proposer à faire une émission sur LCP, "la star Acadéni 1", il sera sûr, sur d'avoir sa place en final !!.
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L
Librement
07/12/2016 18:48
Madame Chêne habite Mereau, le pays où les impôts sont moins élevés.
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L
Lol
07/12/2016 22:06
Ou comme chez Conforama, "le pays ou la vie est moins cher" mais sans les problèmes de détérioration du matériel d'autrui, et de la garantie "sécurité" restreinte!!.
J
Jag
07/12/2016 09:05
N'importe qui fera mieux ....bon, il va sans doute comparer ses avantages financiers et de carrière...donc partir !
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M
Marre
07/12/2016 18:59
Bien dit Jag !! ,mieux , il le faudra bien en tous cas, car faire la star à la TV sur LCP , ne fait pas avancer le schmilblick, loin de là !!.

Vierzon-sur-Mer

Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?

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