Comment est-on passé, en septembre dernier, dans une déclaration bravache, de ça :
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à "Corinne Ollivier, la maire de Vierzon, ne souhaite pas communiquer sur le sujet", lit-on dans la presse. C'est étonnant comme la posture de l'ancien maire et de la nouvelle a moins de panache aujourd'hui. La pression des opposants à la vente de Célestin Gérard a payé : cette maison historique ne sera pas bradée à un privé dont on savait pas ce qu'il en aurait fait.
Une belle victoire que nous vivons avec modestie (Vierzonitude était un des opposants à ce projet de vente) mais nous sommes déçus de la réaction de la ville. Mauvaise perdante, elle se retranche dans le silence. C'est vrai que nos élus n'aiment pas perdre et surtout, ils détestent que leur parole soit remise en cause. C'est fait.
Non seulement, la ville n'a pas communiqué sur cette non-vente, mais en plus, elle n'assume pas. Mais il faudra bien quelle communique sur la suite. Les locataires (le restaurant des Petits plats de Célestin) attendent depuis quatre ans un nouveau bail et des travaux.
Bien sûr, ce restaurant n'a pas la vocation d'un club de foot mais il participe à la renommée de la ville et sa présence engendre plus de retombées qu'une étape de Tour de France. Allez, souriez. Une défaite, ça permet de se remettre en cause pour mieux rebondir.