Un lecteur de Vierzonitude nous écrit ceci pour dénoncer un problème récurrent de stationnement dans la rue du Crot-à-Foulon.
Le problème bien réel à Vierzon du stationnement (très) gênant, voire (très) dangereux (pour les piétons) pas ou trop rarement traité par Vierzonitude, peut être illustré par le cliché que je vous joins. Il a été pris hier vers 18 h 30 rue du Crot-à-Foulon où cette situation est permanente, avec parfois un nombre de véhicules en stationnement encore plus important (jusqu'au niveau de l'intersection avec la rue Henri Barbusse). Rappelons pour les vierzonnais qui ne connaissent pas le secteur qu'il se trouve à deux pas du Lycée Brisson et du Collège Vaillant. Le volume du flux automobile n'y est pas négligeable par moment.
Simple question, comment font les piétons dans cette rue ? Un handicapé circulant en fauteuil ? Et les parents qui l'empruntent parfois avec des poussettes et des enfants en bas âge pour se rendre vers les écoles qui se trouvent de l'autre coté du Boulevard Vaillant ? J'ai posé la question à un riverain qui m'a alors demandé agressivement si je n'étais pas content !!! Ces riverains ne sont peut-être pas tous des intellectuels (…), mais ne pas comprendre qu'ils sont une véritable nuisance pour les autres ! Et ceux-là même qui commettent des incivilités lourdes serons les premiers à se plaindre quand quelque chose n'ira pas selon eux. A partir de là, pourquoi ne pas jeter nos ordures directement dans la rue si tout le monde s'en fout ?
Et les polices, municipale et nationale, demanderez-vous ? Une patrouille rattachée au commissariat (semble-t-il), dans une voiture moteur arrêté, stationnait il y a une dizaine de jours à peu près à l'endroit d'où est prise cette photo. Les agents étaient sans doute en mission confidentielle car ils m'on paru passablement importunés lorsque je leur ai posé la question à propos du stationnement anarchique qu'ils avaient sous les yeux : -oui, oui, on va le signaler...-. Sans commentaire. Et la police municipale, les ASVP ? Jamais vu l'ombre d'un agent intervenir dans ce quartier. Ou alors il va falloir faire la police soi-même, ce que nous ferions volontiers si nous ne risquions pas de nous retrouver seuls à avoir des ennuis comme c'est la règle dans la triste France de notre époque...
Pour l'instant attendons l'accident et nous pourrons voir comment se répartissent les responsabilités.