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Vierzonitude

Le blog que personne ne lit... mais dont tout le monde parle


Quand les gros dégueulasses laissent leurs bouses... devant la déchetterie !

Publié par vierzonitude sur 15 Juillet 2017, 13:23pm

Le lundi 10 juillet, Vierzonitude pestait contre les sans-cerveaux qui laissent leurs détritus devant la déchetterie en espérant que les employés les ramassent ! Ce samedi 15 juillet, re-belote. une bande de crasseux a recommencé d'empiler des sacs plastiques et des détritus, lavabo, frigo, balancés devant la porte de la déchetterie évidemment fermée le 14 juillet. A quand une caméra de videosurveillance pour pister les gros degueulasses de service qui n'ont pas le courage de revenir quand la déchetterie est ouverte. Les faire ramasser leurs m.... avec les dents, ce serait une bonne leçon. Il y a en marre de tous ces invertébrés qui prennent la ville de Vierzon pour une vaste poubelle ou pour leur propre maison !

 

 

Quand les gros dégueulasses laissent leurs bouses... devant la déchetterie !

Ce n'est pas ailleurs, c'est à Vierzon. Peu importe qu'ailleurs, ce soit pareil, on s'en fout, on est ici. Vu, devant la déchetterie, devant LA DECHETTERIE, ce lundi après-midi. C'est manquer de respect au personnel de la déchetterie du petit Rateau qui n'est pas là pour ramasser les merdes des autres. C'est manquer de respect pour l'environnement, mais encore faut-il que les abrutis qui sont à l'origine de ce lâcher de dépôt sauvage sache ce qu'est le mot environnement. C'est ensuite manquer de respect à la ville, mais vu le niveau intellectuel de ces pollueurs sans cerveau en puissance, le respect, ils n'en ont rien à battre. Alors envers cette ville, imaginez le tableau. Toujours est-il que ce genre de détritus, à l'entrée de la déchetterie, nuit à l'image de la ville. Et ne venez pas nous suriner que ceux qui nuisent à l'image de la ville sont ceux qui diffusent ce genre d'images... Il y en a marre des bienheureux avec des oeillères et des bouchons dans les oreilles qui ne veulent rien voir, ni rien entendre, pour ne pas avoir à agir. Et gueuler, c'est déjà agir car c'est ne pas être d'accord !

Quand les gros dégueulasses laissent leurs bouses... devant la déchetterie !
Quand les gros dégueulasses laissent leurs bouses... devant la déchetterie !
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T
The Batman
17/07/2017 02:38
Je vengerais cette vile, coûte que coûte!
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R
Rodier
15/07/2017 18:19
Quelle honte.Mais que font les écologistes de la majorité municipale?
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H
H.G.
15/07/2017 17:50
Les herbes envahissantes aussi ça fait dégueulasse.
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M
Marco
10/07/2017 17:44
C'est vrai que ce genre d'incivilités, comme on à la pudeur de les appeler à présent , loin d'être un cas isolé se multiplient à l'envi...Il n'est que de voir les jets sauvages d'emballage de burgers et autres saletés qui trainent en forêt , parfois au pied des conteneurs ... J'ai même assisté en direct à un jeté de canette vide par dessus une clôture de particulier par des individus qui la longeaient ... Pauvre pauvre pauvre France...
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D
dgust
10/07/2017 17:25
C'est la politique du pas vu pas pris dans cette commune!!.<br /> <br /> Il serait bien veillant que les déchetteries disposent désormais, de caméras infrarouges et d'enregistreurs à détection de mouvement "IP ", relié au commissariat pour les heures fermés.<br /> <br /> Ainsi, les individus seraient repérés(véhicules et personnes), et très sévèrement jugés pour leurs dégradation polluantes comme la loi doit s' appliquée.<br /> <br /> Ils veulent jouer au chat et à la souris, reste à trouver le bon chat chasseur!!.
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T
tenirbon
10/07/2017 21:03
Complètement d'accord, encore faut il se donner les moyens et la volonté de punir ces pollueurs

Vierzon-sur-Mer

Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?

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